DIY, CHU DE GRENOBLE, AFNOR…
Vous avez peut-être pu voir tomber une pluie de tutos depuis le début de cette crise. Des conseils, des analyses, des patrons qui expliquent comment réaliser les masques les plus efficaces. A tel point, que nous nous sommes retrouvés perdus dans cet océan d’informations.
En terme de fabrication, nous avons vite compris que l’important était de bien recouvrir les voies respiratoires, du nez jusqu’au menton. Mais en terme de matière, ça a été autre chose. Il fallait pouvoir assurer un minimum de filtration tout en ayant une bonne respirabilité en portant le masque. Mais pour ça, quel tissu utiliser ? Quel maillage ? Quid du nombre de couches ? 2 ou 3 ? Le filtre doit-il être jetable ou lavable ? Quelle matière pour un bon filtre lavable du coup ? Et les attaches ? Derrière les oreilles ou derrière la tête ? Des élastiques ou des cordelettes ? Beaucoup trop de questions, et dans l’urgence, nous avons d’abord agi.
Des masques bien différents ont ainsi été distribués ; pour finalement s’arrêter sur le masque à plis AFNOR qui reste le plus simple et facile à réaliser. Son cahier des charges, semble être le plus détaillé et le mieux pensé. Nous couplons cela au guide de conformités de l’IFTH.
Des masques bien différents ont ainsi été distribués ; pour finalement s’arrêter sur le masque à plis AFNOR qui reste le plus simple et facile à réaliser. Son cahier des charges, semble être le plus détaillé et le mieux pensé. Nous couplons cela au guide de conformités de l’IFTH.